366 jours

Voilà 366 jours.

IL y a 366 jours, je communiquais avec ma mère comme un rituel habituel et hebdomadaire.

J’avais une décision important que j’avais murie sur plusieurs années et finalement j’avais fait mon choix d’aller de l’avant.

Je devait le faire LÀ!. LÀ! Comme me mentionnait ma sœur, car elle quittait avec les enfants et mes parents pour des vacances.

Ce que je ne me doutais pas est que ma mère était déjà au courant. Une personne lui avait glissé mots de la tornade qui allait frapper.

Donc, le 27 juin 2015,  Je prends mon courage de téléphoner à ma mère pour lui annoncer une des plus grandes et difficile décision que j’allais prendre dans ma vie. 
Je m’attends  à ce que ma mère soit triste quelques peu désappointé de mon changement de situation personnel.

Le contraire est un mot trop facile, le ton de sa voie est déjà menaçant d’insultes qu’elle s’apprête à me jeter au visage. L’arrogance et l’agacement dans sa voix est palpable. Je découvre a mes dépend l’urgence de le dire a ma mère. Ma mère le savait déjà avant que je lui lâche le morceau. Elle avait été avisée.

Je lui fais un survole très court de la raison principal de notre décision mais son ton de voix menaçant et plein de remord…non…non.. De colère. Elle m’écoute mais ses acquiescements son sec et remplie de haine.

Je le sais très bien qu’elle n’est pas d’accord a mon choix. A ce moment elle ouvre la valve des méchancetés qu’elle me jette au visage. Elle est sans retenu. J’ai eu droit à tous les synonymes des mots qui décrivent les filles de rues, les lâches, les vauriens et les pauvres.

Moi qui m’attendais COMPLÈTEMENT a une autre réaction.  Je m’attendais à un choc, de la tristesse ou de la déception. Non, aucunement.

J’ai finalement mis fin à la conversation en lui mentionnant que si elle voyait la situation de sa façon aussi négativement je n’avais plus rien à rajouter. J’ai coupé la ligne.

Honnêtement,  j’étais démolie. Je n’avais jamais imaginé que ma mère me laisserait tomber de cette façon. J’ai passée des nuits sans dormir.

Il y 366 jours, je n’ai pas eu d’appel, elle ne se manifeste pas non plus a ses petites filles qui grandissent trop vite.

Ma plus vielle qui est sur le HONOR ROLL de son école secondaire.
La seconde qui a eu un prix d’honneur de son école pour être une persévérante.
La petite qui ne désire qu’elle soit aimé aux maximum et faire des beaux dessins.  

C’est son choix mais le mien est aussi fait, je continu a vivre sans son support et je m’en porte bien.




 Bonne semaine 
Annie





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